Me revoilà, avec un nouveau départ, une nouvelle tentative de partager mes pensées.
Grâce aux encouragements de plusieurs ami(e)s et à l'inspiration toute fraîche de ce matin, je fais le grand plongeon et me lance dans un podcast. Je ne sais pas si partager des audios sur un blog ça compte comme podcast, mais ce qui compte c'est plus le fond que la forme donc peu importe :)
L'été dernier, mon ami Dimitri et moi avons produits ensemble 2 épisodes que jusque là aucun de nous 2 n'avait encore partagé.
Nous avons commencé avec un épisode du podcast de Dimitri, "réflexions à la lucarne" mais j'avais aussi envie de partager quelque chose en anglais. Nous avons donc fait un deuxième enregistrement et nous sommes arrivés à ce qui est maintenant le premier épisode de mon podcast en anglais "Welcome to my mind". J'avais à l'époque écrit cet article mais il était resté en brouillon, jusqu'à aujourd'hui.
Ce matin, pour la énième fois, j'ai lu quelque chose qui m'a inspiré et j'ai eu envie de partager cette inspiration. Mais cette fois je l'ai fait, j'ai enregistré le fruit de ma méditation. C'est brut, je ne me suis même pas réécoutée; parce que mon but n'est pas d'éditer, de polir, de transformer et de vous donner ce que je crois que vous voulez entendre. L'idée c'est de vous partager mes pensées comme elles viennent.
Aujourd'hui c'est la lecture du jour de l'ancien testament, à propos de Naaman qui m'a inspirée. Pour écouter ce premier épisode de mon nouveau podcast "Bienvenue dans ma tête", c'est ici que ça se passe ! (43 min)
Je vous copie au passage la traduction de l' #avertissement du podcast en anglais :
Alea iacta est...
ou faire un podcast ou autre chose du genre,
pour que mon pauvre ego résiste plus longtemps.
Alors, je vais essayer, je vais partager mes pensées.
Publiquement, je veux dire.
Parce que ceux qui m'ont rencontré ne serait-ce qu'une fois, savent que je n'ai pas de problème à partager mes pensées.
J'essaie de ne pas me mettre d'étiquettes afin de rester flexible et de continuer à croire que je peux toujours grandir et changer sans être ou agir toujours de la même manière ; mais je suis bizarre et je le sais.
Pour commencer, j'aime la bizarrerie.
On m'a mis dans de nombreuses boîtes, mais une de celle qui semble me décrire le mieux est la surefficience mentale.
"La surefficience mentale est une suractivation de l'esprit due à un cerveau qui fonctionne en permanence et à plein régime"
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